Designer
de territoires
de territoires
Imaginer les territoires en designer, c’est intégrer la crise environnementale comme cadre général de nos activités, penser simultanément le cadre de vie et l’équilibre des ressources, croiser transversalement tous nos savoirs autour de chaque problématique.
C’est aussi s’inscrire dans une dynamique permanente de prise en considération des dernières avancées technologiques et ainsi confronter nos idées au regard des usages.
Un job chez VERDI ?
Les défis de notre temps sont notre cadre d'action.
Verdi met au service de ses clients l’ensemble des expertises de l'aménagement des territoires et de la construction afin de concevoir des solutions innovantes :
Cadre de vie
Territoires
Bâtiment durable
Mobilités
Bâtiment durable
Mobilités
Équilibre des ressources
Transition énergétique
Gestion des ressources
Biodiversité
Gestion des ressources
Biodiversité
Réinventer les territoires à partir des usages
Adeptes d’une ingénierie territoriale humaniste et engagée, notre boussole est la compréhension en profondeur des usagers et des évolutions passées et futures de leurs modes de vie. Notre démarche est celle de l’intelligence collective, au croisement des expériences vécues, des expertises techniques et de la créativité de chacun.
Innover en designer
On ne peut plus continuer à concevoir des produits et des services pour une vie quotidienne dans laquelle la planète, ses cycles et ses contraintes n’existent pas. C’est dans ce cadre que nous déployons nos efforts en matière d’innovation. Nous le faisons avec ceux qui savent, ceux qui vivront les lieux.
Nos réalisations
Avec humilité, ingéniosité,
nous visons l’harmonie.
nous visons l’harmonie.
Verdi est un groupe familial indépendant de, planneurs, ingénieurs, architectes, urbanistes, écologues-environnementalistes, consultants… et spécialistes techniques, ouvrant sur tous les aspects de l’aménagement des territoires et de la construction.
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Ensembles, nous sommes
Designer de territoires
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Actualités
Le Résistant | 28.10.2024
Puisseguin : Le centre-bourg fait peau neuve
Ce samedi 19 octobre a eu lieu l'inauguration des aménagements réalisés à Puisseguin. La fin de deux ans de travaux qui doivent permettre au village de retrouver une nouvelle dynamique.
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Le centre-ville de Puisseguin n’a plus tout à fait le même visage depuis quelque temps. Après deux ans de travaux, l’inauguration des aménagements s’est déroulée le samedi 19 octobre en présence de nombreuses personnalités politiques, notamment le maire Jean-Michel Pasquon, le député de la 10e circonscription de la Gironde Florent Boudié, la sénatrice de la Gironde Florence Lassarade et le président du Département de la Gironde, Jean-Luc Gleyze.
De nombreux habitants se sont réunis pour assister à la présentation de l’ensemble des modifications apportées au village sur la place Fressineau. En plus de celle-ci, où se trouve notamment la pharmacie et un nouveau salon de thé, la place de l’église Saint-Pierre, l’avenue Beauséjour, la rue du Mayne ainsi que les entrées sud et est ont connu un coup de neuf. “ Aujourd’hui, c’est un bourg très différent, reconnaît Jean-Luc Gleyze. Réaliser cet aménagement, c’est permettre une vie plus agréable pour les habitants, mais aussi permettre à la vie commerciale de pouvoir s’exercer de manière plus agréable et plus accessible. Avoir des commerces qui se développent, c’est fondamental. ”
Le cadre de vie s’est amélioré
Ceux-ci ont d’ailleurs subi la période des travaux, avec une diminution de leur activité. “ Ils ont fait preuve de patience et ont trouvé des solutions pour satisfaire leur clientèle, pour qui l’accès aux commerces s’avérait difficile ”, a rappelé de son côté Jean-Michel Pasquon. Car du côté des habitants, les travaux n’ont également pas toujours été un moment très agréable. “ Il fallait bien que ça passe par là ”, estime Danièle Tallet, 73 ans et habitante du centre-bourg. Mais malgré le “ manque de concertation ” avec les habitants relevés par certains riverains, beaucoup sont satisfaits du résultat final.
“ Le cadre de vie des habitants s’est nettement amélioré, les touristes n’hésitent pas à s’arrêter, se félicite l’édile. Les différents espaces se trouvent embellis et fonctionnels, ils favorisent l’attractivité du village notamment au niveau économique. Une nouvelle dynamique est en marche ”.
Des travaux pour les 20 ou 30 prochaines années
L’objectif est donc d’avoir une vision à long terme. “ Ce sont des travaux pour les 20 ou 30 prochaines années pour l’image de la commune, son accessibilité… Cet effort est indispensable ”, juge Florent Boudié. Après des années de réflexions autour de ce projet (lire ci-dessous), la municipalité entend donc apporter une nouvelle vie au village, symbolisée par l’arrivée récente de nouveaux commerces comme un salon de thé et une agence immobilière.
“ Les centres-bourgs dans nos territoires ruraux jouent un rôle essentiel. Ce sont des lieux propices aux rencontres et au partage”, justifie le maire. L’ensemble des aménagements au sein de la commune aura coûté 719 776 euros HT à la municipalité, dont 187 403 euros de subventions du Département. Le prix pour se refaire une beauté.
Un dossier ouvert depuis 2006
2006 :
Le conseil municipal de l’époque fait acte de candidature à l’étude préalable à la convention d’aménagement du bourg. Celle-ci n’ayant pas abouti, une nouvelle candidature est déposée trois ans plus tard.
2017 :
La commune est avertie que sur proposition du président du conseil départemental, la commission permanente du Département a retenu la candidature.
2019 :
Le 9 novembre, la convention d’aménagement du centre-bourg est signée entre le Département et la commune. Les cabinets « Métaphore » et « Verdi Ingénierie » sont retenus pour la mise en place des travaux.
2020 :
La pandémie de Covid-19 perturbe la programmation des travaux.
2021 :
Le conseil municipal travaille sur des ajustements nécessaires au projet d’aménagement qui avait été initialement prévu. En fin d’année, les entreprises sont enfin retenues : « CMR » et « id verde ».
2022 :
Les travaux prévus en 2020 et 2021 sont regroupés et menés au début de l’année. Fin juin, les premiers changements de la place de l’église et de l’entrée sud du bourg sont visibles. Puis les travaux reprennent et se poursuivent au niveau de l’avenue Beauséjour.
2023 :
Les réseaux d’eau et d’assainissement doivent être entièrement repris au niveau de la rue des écoles. En fin d’année, les dernières plantations de l’entrée et du bourg sont réalisées.
De nombreux habitants se sont réunis pour assister à la présentation de l’ensemble des modifications apportées au village sur la place Fressineau. En plus de celle-ci, où se trouve notamment la pharmacie et un nouveau salon de thé, la place de l’église Saint-Pierre, l’avenue Beauséjour, la rue du Mayne ainsi que les entrées sud et est ont connu un coup de neuf. “ Aujourd’hui, c’est un bourg très différent, reconnaît Jean-Luc Gleyze. Réaliser cet aménagement, c’est permettre une vie plus agréable pour les habitants, mais aussi permettre à la vie commerciale de pouvoir s’exercer de manière plus agréable et plus accessible. Avoir des commerces qui se développent, c’est fondamental. ”
Le cadre de vie s’est amélioré
Ceux-ci ont d’ailleurs subi la période des travaux, avec une diminution de leur activité. “ Ils ont fait preuve de patience et ont trouvé des solutions pour satisfaire leur clientèle, pour qui l’accès aux commerces s’avérait difficile ”, a rappelé de son côté Jean-Michel Pasquon. Car du côté des habitants, les travaux n’ont également pas toujours été un moment très agréable. “ Il fallait bien que ça passe par là ”, estime Danièle Tallet, 73 ans et habitante du centre-bourg. Mais malgré le “ manque de concertation ” avec les habitants relevés par certains riverains, beaucoup sont satisfaits du résultat final.
“ Le cadre de vie des habitants s’est nettement amélioré, les touristes n’hésitent pas à s’arrêter, se félicite l’édile. Les différents espaces se trouvent embellis et fonctionnels, ils favorisent l’attractivité du village notamment au niveau économique. Une nouvelle dynamique est en marche ”.
Des travaux pour les 20 ou 30 prochaines années
L’objectif est donc d’avoir une vision à long terme. “ Ce sont des travaux pour les 20 ou 30 prochaines années pour l’image de la commune, son accessibilité… Cet effort est indispensable ”, juge Florent Boudié. Après des années de réflexions autour de ce projet (lire ci-dessous), la municipalité entend donc apporter une nouvelle vie au village, symbolisée par l’arrivée récente de nouveaux commerces comme un salon de thé et une agence immobilière.
“ Les centres-bourgs dans nos territoires ruraux jouent un rôle essentiel. Ce sont des lieux propices aux rencontres et au partage”, justifie le maire. L’ensemble des aménagements au sein de la commune aura coûté 719 776 euros HT à la municipalité, dont 187 403 euros de subventions du Département. Le prix pour se refaire une beauté.
Un dossier ouvert depuis 2006
2006 :
Le conseil municipal de l’époque fait acte de candidature à l’étude préalable à la convention d’aménagement du bourg. Celle-ci n’ayant pas abouti, une nouvelle candidature est déposée trois ans plus tard.
2017 :
La commune est avertie que sur proposition du président du conseil départemental, la commission permanente du Département a retenu la candidature.
2019 :
Le 9 novembre, la convention d’aménagement du centre-bourg est signée entre le Département et la commune. Les cabinets « Métaphore » et « Verdi Ingénierie » sont retenus pour la mise en place des travaux.
2020 :
La pandémie de Covid-19 perturbe la programmation des travaux.
2021 :
Le conseil municipal travaille sur des ajustements nécessaires au projet d’aménagement qui avait été initialement prévu. En fin d’année, les entreprises sont enfin retenues : « CMR » et « id verde ».
2022 :
Les travaux prévus en 2020 et 2021 sont regroupés et menés au début de l’année. Fin juin, les premiers changements de la place de l’église et de l’entrée sud du bourg sont visibles. Puis les travaux reprennent et se poursuivent au niveau de l’avenue Beauséjour.
2023 :
Les réseaux d’eau et d’assainissement doivent être entièrement repris au niveau de la rue des écoles. En fin d’année, les dernières plantations de l’entrée et du bourg sont réalisées.
La Voix du Jura | 24.10.2024
Assainissement : des travaux de grande envergure pour un meilleur environnement
La commune d'Arinthod, en collaboration avec Terre d'Émeraude Communauté est soutenue par VERDI ingénierie, s'est engagée dans un ambitieux projet de renouvellement de son réseau d'assainissement.
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Ces travaux d’une importance capitale pour la préservation de l’environnement et l’amélioration de la qualité de vies des habitants concernent plusieurs quartiers de la ville. Débutés en mai 2024 pour une période estimée de onze mois, ils ont rencontré quelques problèmes, notamment d’intempéries et dans un secteur des roches rendant difficile la percée de tranchées. En parallèle, le syndicat à la carte du canton d’Arinthod renouvelle les réseaux d’eau potable sur certains secteurs.
Pourquoi ces travaux sont-ils nécessaires ?
Un diagnostic approfondi du réseau existant a révélé des dysfonctionnements majeurs : l’âge et l’usure des canalisations ont entraîné des infiltrations et des fuites, compromettant l’efficacité du système. De plus, le réseau unitaire, qui collecte à la fois les eaux usées et les eaux pluviales, se révèle inadéquat lors de fortes précipitations. Les surcharges provoquent des déversements d’eaux usées dans le milieu naturel, polluant ainsi les cours d’eau et les sols.
Ces problèmes engendrent des coûts de fonctionnement élevé et de dysfonctionnements récurrents, rendant difficile le respect des normes environnementales.
Une solution durable : le réseau séparatif
Pour remédier à ces problématiques, Terre d’Émeraude a opté pour la création d’un réseau séparatif. Ce nouveau système a pour vocation de collecter uniquement les eaux usées domestiques, qui seront ensuite traitées dans une station d’épuration. Les eaux pluviales, quant à elles, seront gérées séparément, soit en étant rejetées dans le réseau existant désormais dédié aux eaux pluviales, soit en étant infiltrées sur place.
Quels sont les secteurs concernés ?
Les travaux concernent notamment les rues de Presles, Jean-de-Chalon, Reydellet, Magnin, la Prelette, ainsi que l’impasse Sauvieux, la rue du Sauvieux, la route de Lons, la zone artisanale la Forêt et la rue Ferrachat.
Un engagement financier important
Après consultation, les travaux ont été confiés au groupement d’entreprises Piquand et Petijean TP. Le montant total de la prestation s’élève à 1 473 746,07 € hors taxes, dont une part importante est financée par des subventions (1 134 140 € HT). Pour le renouvellement du réseau d’eau potable sur certains secteurs le coût est d’environ 200 000 €.
Quelles conséquences pour les particuliers ?
La mise ne place de ce nouveau réseau nécessite une adaptation des installations privées. Les propriétaires devront séparer les eaux usées domestiques des eaux pluviales et raccorder les premières au nouveau réseau via un tabouret de branchement. Les eaux pluviales pourront être soit recordées au réseau existant, soit infiltrées sur la parcelle.
Il est indéniable que ces travaux occasionnent des désagréments tels que le bruit, la poussière et les perturbations de circulation, même si les entreprises s’efforcent de les limiter au maximum.
Un investissement pour l’avenir
Ces travaux de grande envergure marquent une étape importante dans la modernisation des infrastructures d’Arinthod. Ils permettront non seulement de préserver la qualité de l’environnement, mais aussi d’améliorer le confort et les valeurs des propriétés.
Pourquoi ces travaux sont-ils nécessaires ?
Un diagnostic approfondi du réseau existant a révélé des dysfonctionnements majeurs : l’âge et l’usure des canalisations ont entraîné des infiltrations et des fuites, compromettant l’efficacité du système. De plus, le réseau unitaire, qui collecte à la fois les eaux usées et les eaux pluviales, se révèle inadéquat lors de fortes précipitations. Les surcharges provoquent des déversements d’eaux usées dans le milieu naturel, polluant ainsi les cours d’eau et les sols.
Ces problèmes engendrent des coûts de fonctionnement élevé et de dysfonctionnements récurrents, rendant difficile le respect des normes environnementales.
Une solution durable : le réseau séparatif
Pour remédier à ces problématiques, Terre d’Émeraude a opté pour la création d’un réseau séparatif. Ce nouveau système a pour vocation de collecter uniquement les eaux usées domestiques, qui seront ensuite traitées dans une station d’épuration. Les eaux pluviales, quant à elles, seront gérées séparément, soit en étant rejetées dans le réseau existant désormais dédié aux eaux pluviales, soit en étant infiltrées sur place.
Quels sont les secteurs concernés ?
Les travaux concernent notamment les rues de Presles, Jean-de-Chalon, Reydellet, Magnin, la Prelette, ainsi que l’impasse Sauvieux, la rue du Sauvieux, la route de Lons, la zone artisanale la Forêt et la rue Ferrachat.
Un engagement financier important
Après consultation, les travaux ont été confiés au groupement d’entreprises Piquand et Petijean TP. Le montant total de la prestation s’élève à 1 473 746,07 € hors taxes, dont une part importante est financée par des subventions (1 134 140 € HT). Pour le renouvellement du réseau d’eau potable sur certains secteurs le coût est d’environ 200 000 €.
Quelles conséquences pour les particuliers ?
La mise ne place de ce nouveau réseau nécessite une adaptation des installations privées. Les propriétaires devront séparer les eaux usées domestiques des eaux pluviales et raccorder les premières au nouveau réseau via un tabouret de branchement. Les eaux pluviales pourront être soit recordées au réseau existant, soit infiltrées sur la parcelle.
Il est indéniable que ces travaux occasionnent des désagréments tels que le bruit, la poussière et les perturbations de circulation, même si les entreprises s’efforcent de les limiter au maximum.
Un investissement pour l’avenir
Ces travaux de grande envergure marquent une étape importante dans la modernisation des infrastructures d’Arinthod. Ils permettront non seulement de préserver la qualité de l’environnement, mais aussi d’améliorer le confort et les valeurs des propriétés.
Le Progrès | 14.10.2024
Révision du PLU :
les habitants invités
à imaginer le village en 2035
les habitants invités
à imaginer le village en 2035
Jean-Marc Thimonier maire lance la réflexion de la révision du PLU de 2017 dans un contexte de crise économique et immobilière. Il a convié les habitants à une réunion publique pour leur en présenter les enjeux et les inviter à participer à la concertation.
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Le sujet de la révision du Plan Local d’Urbanisme, PLU a attiré de nombreux habitants de tous âges dans la salle d’animation de Sainte-Consorce ayant répondu à l’invitation de leur maire Jean-Marc Thimonier. Avec Christelle Vincent, consultante au cabinet Verdi, ils ont présenté un état des lieux de la commune et les enjeux de cette révision du PLU pour son développement futur. Voici les principaux points à retenir.
Une conjoncture économique difficile
Le PLU de 2017 doit être révisé car, le contexte économique, et tout particulièrement, immobilier, a évolué : d’un contexte de forte pression immobilière et foncière, on est passé à une crise qui a pratiquement mis à l’arrêt, le marché immobilier. Pour Sainte-Consorce, cet arrêt a des conséquences importantes, en termes de croissance démographique et économique.
Un découpage par zones
Le PLU est un document d’urbanisme issu d’une démarche de réflexion prospective qui englobe l’habitat, bien sûr, mais aussi l’agriculture, le développement économique, l’environnement et les mobilités. Il propose un zonage du territoire en 4 grandes catégories, Urbanisées, à urbaniser, agricoles et naturelles.
Adapter le logement et préserver l’école
En tenant compte des derniers chiffres démographiques et de la taille des logements le nouveau PLU devra diversifier le parc de logements, afin de créer les conditions favorables à l’accueil de jeunes ménages et de primo-accédants, il s’agit notamment de sécuriser les effectifs de l’école dont une classe a fermé cette année. La taille des logements devra s’adapter à une population de couples sans enfant et de personne seules.
Préserver la qualité de vie des habitants
Au niveau de l’économie et des services, le PLU devra autoriser une densification de la zone économique de Clape Loup (mais pas son extension) ; maintenir une offre de commerces et services de proximité et permettre l’implantation d’un restaurant au centre bourg. Enfin, il devra préserver les zones naturelles et agricoles repérées. Il devra accompagner l’installation d’un pôle médical et d’une Maison pour tous.
Préserver l’identité du village
Des enjeux de paysage (vues) de patrimoine et d’environnement sont également à respecter comme identifier les éléments du petit patrimoine participant à l’identité communale, et protéger les composantes de la Trame verte et bleue.
Partant de ce cahier des charges, les élus locaux vont pouvoir élaborer un projet communal. Ce dernier sera présenté aux habitants, lors d’une réunion publique, dans le courant du premier semestre 2025.
Une conjoncture économique difficile
Le PLU de 2017 doit être révisé car, le contexte économique, et tout particulièrement, immobilier, a évolué : d’un contexte de forte pression immobilière et foncière, on est passé à une crise qui a pratiquement mis à l’arrêt, le marché immobilier. Pour Sainte-Consorce, cet arrêt a des conséquences importantes, en termes de croissance démographique et économique.
Un découpage par zones
Le PLU est un document d’urbanisme issu d’une démarche de réflexion prospective qui englobe l’habitat, bien sûr, mais aussi l’agriculture, le développement économique, l’environnement et les mobilités. Il propose un zonage du territoire en 4 grandes catégories, Urbanisées, à urbaniser, agricoles et naturelles.
Adapter le logement et préserver l’école
En tenant compte des derniers chiffres démographiques et de la taille des logements le nouveau PLU devra diversifier le parc de logements, afin de créer les conditions favorables à l’accueil de jeunes ménages et de primo-accédants, il s’agit notamment de sécuriser les effectifs de l’école dont une classe a fermé cette année. La taille des logements devra s’adapter à une population de couples sans enfant et de personne seules.
Préserver la qualité de vie des habitants
Au niveau de l’économie et des services, le PLU devra autoriser une densification de la zone économique de Clape Loup (mais pas son extension) ; maintenir une offre de commerces et services de proximité et permettre l’implantation d’un restaurant au centre bourg. Enfin, il devra préserver les zones naturelles et agricoles repérées. Il devra accompagner l’installation d’un pôle médical et d’une Maison pour tous.
Préserver l’identité du village
Des enjeux de paysage (vues) de patrimoine et d’environnement sont également à respecter comme identifier les éléments du petit patrimoine participant à l’identité communale, et protéger les composantes de la Trame verte et bleue.
Partant de ce cahier des charges, les élus locaux vont pouvoir élaborer un projet communal. Ce dernier sera présenté aux habitants, lors d’une réunion publique, dans le courant du premier semestre 2025.
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de créateurs
de solutions !
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Nous sommes une communauté diversifiée d'ingénieurs tenaces et imaginatifs, de designers audacieux et créatifs, d’économistes perspicaces, d’environnementaristes inventifs et d’experts dans d'autres nombreuses disciplines. Il y a toujours de nouvelles solutions à inventer et de nouvelles façons de collaborer pour imaginer des nouvelles manière d'habiter la planète
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