
Designer
de territoires
de territoires
Imaginer les territoires en designer, c’est intégrer la crise environnementale comme cadre général de nos activités, penser simultanément le cadre de vie et l’équilibre des ressources, croiser transversalement tous nos savoirs autour de chaque problématique.
C’est aussi s’inscrire dans une dynamique permanente de prise en considération des dernières avancées technologiques et ainsi confronter nos idées au regard des usages.
Un job chez VERDI ?
Les défis de notre temps sont notre cadre d'action.
Verdi met au service de ses clients l’ensemble des expertises de l'aménagement des territoires et de la construction afin de concevoir des solutions innovantes :
Cadre de vie
Territoires
Bâtiment durable
Mobilités
Bâtiment durable
Mobilités
Équilibre des ressources
Transition énergétique
Gestion des ressources
Biodiversité
Gestion des ressources
Biodiversité

Réinventer les territoires à partir des usages
Adeptes d’une ingénierie territoriale humaniste et engagée, notre boussole est la compréhension en profondeur des usagers et des évolutions passées et futures de leurs modes de vie. Notre démarche est celle de l’intelligence collective, au croisement des expériences vécues, des expertises techniques et de la créativité de chacun.
Innover en designer
On ne peut plus continuer à concevoir des produits et des services pour une vie quotidienne dans laquelle la planète, ses cycles et ses contraintes n’existent pas. C’est dans ce cadre que nous déployons nos efforts en matière d’innovation. Nous le faisons avec ceux qui savent, ceux qui vivront les lieux.



























Nos réalisations
Avec humilité, ingéniosité,
nous visons l’harmonie.
nous visons l’harmonie.
Verdi est un groupe familial indépendant de, planneurs, ingénieurs, architectes, urbanistes, écologues-environnementalistes, consultants… et spécialistes techniques, ouvrant sur tous les aspects de l’aménagement des territoires et de la construction.
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Ensembles, nous sommes
Designer de territoires
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Actualités

Le Moniteur | 21.02.2025
Lille, une nouvelle vie en peuplier
Le palais Rameau nouveau a été inauguré début février à Lille (Nord). Construit en 1878 et classé monument historique en 2002, l'édifice a été réhabilité par l'école d'ingénieurs Junia pour en faire un lieu dédié à l'agriculture urbaine, accueillant aussi bien des étudiants que des chercheurs.
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Afin de ne pas dénaturer l'existant, l'intérieur accueille une structure en kit aisément modulable et démontable. “ Avec 158 m³ de peuplier déployés pour fabriquer les poteaux et poutres en lamellé-collé, c'est le plus gros chantier d'Europe réalisé avec cette essence locale. Cela prouve qu'il est possible de l'utiliser pour la construction, d'autant qu'elle présente des qualités intéressantes, comme l'absence de nœud ”, souligne Cédric Michel, architecte associé de l'Atelier 9.81, mandataire du groupement de maîtrise d'œuvre. Un réseau de sprinklage a aussi été déployé au sein du bâtiment de 3 950 m² SP. Le projet a coûté 15,2 M€ HT, dont la moitié pour la restauration.

Ici Auxerre | 19.02.2025
Joigny, des quais
réaménagés
d'ici la fin de l'année
réaménagés
d'ici la fin de l'année
Les travaux ont enfin débuté à Joigny sur les quais de l'Yonne. Le premier pavé était posé mercredi par les élus locaux pour ce projet de végétalisation de la grande place située à l'arrière du marché couvert et qui n'était depuis plusieurs décennies qu'un parking sans âme.
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Pour les riverains et les badauds, cette esplanade au cœur de la ville de Joigny dans l'Yonne, n'a pour l'instant rien d'un lieu de vie agréable. " Cet endroit, c'est mort. Il n'y a rien. Cela n'a pas d'intérêt ", déplore Michel, un habitant de Laroche, une commune voisine. " C'est quand-même un espace public, il faut vraiment bien l'exploiter pour que toute la population puisse en profiter ", estime Paule. Elle habite en face du marché et découvre ce projet avec le sourire.

Nicolas Soret, maire de Joigny. Grégory Dorte, président du conseil départemental. © Radio France, Renaud Candelier
Des lieux agréables où s'installer à l'ombre
S'adresser à tous, c'est justement le projet de ce réaménagement montre Benoit Martineau, plan à l'appui. Il est architecte paysagiste à l'agence JDM paysagiste à Dijon. " Demain, nous allons créer de petites estacades en bois, ce sont des structures en surélévation qui permettront de pouvoir intégrer des tables et de boire des verres au soleil après le marché. Et on va aussi désimperméabiliser tout cet espace qui était en enrobé avec du pavé infiltrant. " Le projet comprend des espaces de jeux, la création d'une guinguette, la plantation d'arbres et des accès à la rivière. Une idée de parc qui n'est qu'un retour en arrière. " Autour de la fontaine, là où il y a des voitures, historiquement il y avait un petit square avec de petites grilles, des plantations et on pouvait se poser, s'asseoir sur un banc autour de la fontaine. Aujourd'hui, c'est assez difficile puisque c'est un petit giratoire. Donc on va essayer de redonner de la place aux piétons. "

Le chantier va durer jusqu'à la fin de l'année 2025. © Radio France, Renaud Candelier
Un ancien site pour manœuvres militaires
Jusqu'au XIXe siècle et l'arrivée d'un certain Louis Bonaparte à la tête du régiment des 5e Dragons à Joigny, la place était une prairie arborée. Le frère de Napoléon en fera un terrain pour manœuvres militaires. Réaménager cette place, c'était "un vieux rêve" du maire Nicolas Soret. " J'ai toujours eu l'immense conviction que la ville de Joigny ne misait pas assez sur sa rivière. J'ai toujours eu l'immense conviction que la ville de Joigny méritait une centralité qu'elle n'avait pas jusque-là. " Depuis 2010, Joigny tente de se remettre du départ des 350 militaires du 28e groupe géographique. De nombreux investissements ont été faits sur l'ancien site de 12 hectares situé plus en hauteur dans la ville. Ces travaux des quais, sans lien avec le départ des militaires, sont une manière de tourner la page. " Les villes d'Auxerre et les villes de Sens, il y a quelques années, ont travaillé à la réappropriation de leurs berges. Le moment était venu pour Joigny, la troisième ville du département, de mener ce travail aussi et on verra le résultat, on verra comment il sera accueilli par les Joviniennes et les Joviniens. J'ai foi dans son succès. " Un chantier qui se terminera en tout cas en fin d'année, à quelques mois des élections municipales.
Des travaux fortement subventionnés
Ces travaux vont coûter un peu plus de 4 millions d'euros dont 900 000 euros à la charge de la ville de Joigny, le reste étant des subventions de l'État, de la région, du département et de l'agence de l'eau. Deux autres phases d'aménagement d'un côté du marché et de la voirie sont prévues pour le prochain mandat d'un montant de 5 millions d'euros.

Nicolas Soret, maire de Joigny. Grégory Dorte, président du conseil départemental. © Radio France, Renaud Candelier
Des lieux agréables où s'installer à l'ombre
S'adresser à tous, c'est justement le projet de ce réaménagement montre Benoit Martineau, plan à l'appui. Il est architecte paysagiste à l'agence JDM paysagiste à Dijon. " Demain, nous allons créer de petites estacades en bois, ce sont des structures en surélévation qui permettront de pouvoir intégrer des tables et de boire des verres au soleil après le marché. Et on va aussi désimperméabiliser tout cet espace qui était en enrobé avec du pavé infiltrant. " Le projet comprend des espaces de jeux, la création d'une guinguette, la plantation d'arbres et des accès à la rivière. Une idée de parc qui n'est qu'un retour en arrière. " Autour de la fontaine, là où il y a des voitures, historiquement il y avait un petit square avec de petites grilles, des plantations et on pouvait se poser, s'asseoir sur un banc autour de la fontaine. Aujourd'hui, c'est assez difficile puisque c'est un petit giratoire. Donc on va essayer de redonner de la place aux piétons. "

Le chantier va durer jusqu'à la fin de l'année 2025. © Radio France, Renaud Candelier
Un ancien site pour manœuvres militaires
Jusqu'au XIXe siècle et l'arrivée d'un certain Louis Bonaparte à la tête du régiment des 5e Dragons à Joigny, la place était une prairie arborée. Le frère de Napoléon en fera un terrain pour manœuvres militaires. Réaménager cette place, c'était "un vieux rêve" du maire Nicolas Soret. " J'ai toujours eu l'immense conviction que la ville de Joigny ne misait pas assez sur sa rivière. J'ai toujours eu l'immense conviction que la ville de Joigny méritait une centralité qu'elle n'avait pas jusque-là. " Depuis 2010, Joigny tente de se remettre du départ des 350 militaires du 28e groupe géographique. De nombreux investissements ont été faits sur l'ancien site de 12 hectares situé plus en hauteur dans la ville. Ces travaux des quais, sans lien avec le départ des militaires, sont une manière de tourner la page. " Les villes d'Auxerre et les villes de Sens, il y a quelques années, ont travaillé à la réappropriation de leurs berges. Le moment était venu pour Joigny, la troisième ville du département, de mener ce travail aussi et on verra le résultat, on verra comment il sera accueilli par les Joviniennes et les Joviniens. J'ai foi dans son succès. " Un chantier qui se terminera en tout cas en fin d'année, à quelques mois des élections municipales.
Des travaux fortement subventionnés
Ces travaux vont coûter un peu plus de 4 millions d'euros dont 900 000 euros à la charge de la ville de Joigny, le reste étant des subventions de l'État, de la région, du département et de l'agence de l'eau. Deux autres phases d'aménagement d'un côté du marché et de la voirie sont prévues pour le prochain mandat d'un montant de 5 millions d'euros.

Le Moniteur | 14.02.2025
Une pépinière high-tech
surfe sur l'esprit nature
surfe sur l'esprit nature
A la fin de l'année, jeunes pousses et salariés indépendants pourront investir un nouvel espace de 1200 m² en R + 2 au sein du parc d'activités Pédebert à Soorts-Hossegor (Landes). Un projet porté par la communauté de communes Marennes-AdourCôte Sud (Macs) et piloté par l'agence d'architecture MCVD.
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Ce qui était autrefois une zone artisanale dédiée à l'univers du surf a élargi son périmètre à tous les sports de glisse et dépassé sa fonction purement économique pour devenir une sorte de village avec des boutiques et des espaces de restauration, traversé par des pistes cyclables.
Le bâtiment tertiaire imaginé par les architectes est une future pépinière destinée à des métiers à haute valeur technologique. “ Il s'agit d'attirer des talents et d'accompagner l'évolution de la zone ”, précise Hervé Bouyrie, vice-président en charge du développement économique au sein de Macs. Pour répondre à cette demande, l'édifice allie bois, béton, verre et espèces végétales. Une structure maçonnée (noyau central, dalles du rez-dechaussée et du R + 1) stabilise un complexe en bois (structure et enveloppe) dont la trame file en extérieur. Celle-ci y forme une treille couverte d'une végétation grimpante qui protège les bureaux du soleil. Des extensions, demandées par le maître d'ouvrage, sont prévues sur la terrasse du R + 2 et au nord du bâtiment (600 m²). Le béton bas carbone utilisé est produit à 200 m du site.
Double hauteur et toit-terrasse.
“ Notre architecture est très rationnelle, précise Vital Duclos, architecte associé de MCVD. Il y a beaucoup de surface utile et peu de cheminements. ” La salle au rez-de-chaussée, destinée aux événements, vitrée et en double hauteur, et le toit-terrasse végétalisé donnent son cachet au bâtiment, dont les travaux ont démarré en mai 2024.
La nature s'exprime également dans le volet paysager du projet, confié David Abéradère. Le parvis qui peut servir d'espace de rencontres est désimperméabilisé, les places de stationnement traitées en aiguilles de pin, les cheminements réalisés en béton de terre, et un sous-bois est reconstitué aux abords de la pépinière. Le coût total des travaux est estimé à 2,7M€ HT.
Le bâtiment tertiaire imaginé par les architectes est une future pépinière destinée à des métiers à haute valeur technologique. “ Il s'agit d'attirer des talents et d'accompagner l'évolution de la zone ”, précise Hervé Bouyrie, vice-président en charge du développement économique au sein de Macs. Pour répondre à cette demande, l'édifice allie bois, béton, verre et espèces végétales. Une structure maçonnée (noyau central, dalles du rez-dechaussée et du R + 1) stabilise un complexe en bois (structure et enveloppe) dont la trame file en extérieur. Celle-ci y forme une treille couverte d'une végétation grimpante qui protège les bureaux du soleil. Des extensions, demandées par le maître d'ouvrage, sont prévues sur la terrasse du R + 2 et au nord du bâtiment (600 m²). Le béton bas carbone utilisé est produit à 200 m du site.
Double hauteur et toit-terrasse.
“ Notre architecture est très rationnelle, précise Vital Duclos, architecte associé de MCVD. Il y a beaucoup de surface utile et peu de cheminements. ” La salle au rez-de-chaussée, destinée aux événements, vitrée et en double hauteur, et le toit-terrasse végétalisé donnent son cachet au bâtiment, dont les travaux ont démarré en mai 2024.
La nature s'exprime également dans le volet paysager du projet, confié David Abéradère. Le parvis qui peut servir d'espace de rencontres est désimperméabilisé, les places de stationnement traitées en aiguilles de pin, les cheminements réalisés en béton de terre, et un sous-bois est reconstitué aux abords de la pépinière. Le coût total des travaux est estimé à 2,7M€ HT.
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